par Sabine Isabelle adopté d'Haïti à Canada.
Rétablir les liens entre les adoptés d'Haïti nés de parents inconnus et leurs parents biologiques.
Le côté obscur
Avant le 1er avril 2014 : date de signature de la Convention de La Haye en Haïti. Des milliers d'adoptés sans identité ont été adoptés à l'international avec une mention nés de père et de mère inconnus ou parfois le prénom d'un « seul parent ». Parmi ses enfants, plusieurs ont malheureusement été confiés à l'adoption non plénière à travers la traite des êtres humains en tous genres. Certains enfants veulent simplement retrouver leur famille biologique parce qu'ils sentent qu'ils n'ont pas accès à leurs antécédents médicaux, à leur identité légitime.
Des études ont montré que de nombreux enfants issus d'adoptions vivent avec des traumatismes avec des impacts psychologiques allant du suicide aux effets neurodéveloppementaux dus à leur adoption. Plusieurs ont été confiées à des familles adoptives bienveillantes mais mal préparées à accueillir un enfant fragilisé par la blessure de l'abandon, de plus beaucoup d'entre elles ont connu un double abandon de leurs parents adoptifs en étant placées dans un centre d'accueil ou une seconde famille adoptive.
Une infime fraction des parents biologiques commencent lentement à retrouver leurs enfants biologiques. Certains témoignent qu'ils n'ont pas sciemment donné leurs enfants à l'adoption, mais qu'ils ont plutôt confié temporairement les biens et qu'à leur retour à l'orphelinat l'enfant avait été confié à l'adoption sans leur consentement et sans aucune possibilité d'information pour trouver un contact avec ces enfants dans d'autres cas de parents biologiques se sont fait dire que le parent biologique était mort alors que c'est faux et tant d'autres situations ne sont pas toutes nommées. Il s'agit d'un enfant qui a été adopté dit sans identités réelles et/ou sans identités de leurs 2 parents biologiques n'était pas hors de tout doute raisonnable, adoptable. Des enquêtes, des thèses et de nombreux témoignages montrent également que seuls 10% de ces enfants étaient en fait de véritables orphelins. Puisque certains d'entre nous sont maintenant en âge de faire des démarches pour retrouver nos familles biologiques, nous sommes stupéfaits d'assister à tous ces défauts cachés.
Un autre problème se profile à l'horizon : les manquements à se faire aider par les différents établissements tels que : orphelinat, hôpital qui nous demande de donner des sommes d'argent pour obtenir nos informations légitimes… Nous voilà donc nouvellement confrontés à des soi-disant bons samaritains qui nous proposent mener nos recherches pour eux aussi une somme d'argent, un cercle déstructuré et corrompu qui perdure. C'est un appel à la méchanceté. Comment distinguez-vous le bon du mauvais Samaritain étranger ? Nous avons et laisserons un héritage identitaire vide que nous laisserons à nos enfants et à nos générations futures. En tant que pionniers de cette génération expérimentale sur l'adoption internationale en Haïti nous sollicitons votre soutien sous toutes ses formes afin de rétablir l'équilibre.
Soumission originale en français
Rétablissons les liens entre les adoptés d'Haïti nés sous l'appellation de parents inconnus et leurs parents biologiques.
Le côté sombre
Avant le 1euh avril 2014 : date de la signature de la convention de La Haye en Haïti .Des adoptés sans identité ont été adoptés à l'international avec une mention nées d'une mère et d'un père inconnu ou parfois le prénom d'un seul parent . Parmi ses enfants, plusieurs ont été malheureusement attribués à l'adoption non plénière à travers un trafic d'humains de tout genre. Certains enfants veulent tout simplement retrouver leur famille biologique puisqu'ils n'ont pas accès à leurs antécédents médicaux, leur identité légitime.
Les études ont démontrées que plusieurs enfants problèmes de c'est adoptions vivent avec des traumatismes ayant des impacts psychologiques allant du suicide aux effets neuro développementaux qui sont dus à leur adoption. Plusieurs ont été confiés à des familles adoptives bienveillantes mais mal préparés à accueillir un enfant fragilisé par la blessure d'abandon, d'ailleurs nombreux de ceux-ci ont vécu un double abandon de leurs parents adoptifs en étant placé dans un centre accueille ou une deuxième famille adoptive.
Une infime partie de parents biologiques commence tranquillement à retrouver leurs enfants biologiques. Certain ne pas avoir de données leurs enfants à l'adoption en tout connaissance de cause mai plutôt les avoirs autorisés à témoigner temporairement et qu'à leur retour à l'orphelinat l'enfant avait été donné en adoption sans leur consentement et sans aucune possibilité d' information pour retrouver le contact avec ces enfants dans d'autres cas des parents biologiques se sont faits dire que le parent biologique était mort alors que c'est faux et tant d'autres situations pour ne pas tous les nommés. C'est enfant qui ont été adoptés sans identités réelles et/ou sans identités de leurs 2 parents biologiques n'était pas hors de doute raisonnable, adoptable. Des enquêtes, thèses, et nombreux témoignages présentent également que seulement 10 % de ces enfants étaient en fait réellement orphelins. Puisque certains de nous sommes maintenant assez âgés pour entreprendre des démarches de recherche pour retrouver leur famille biologique, nous assistons avec stupéfaction à tous ces vices cachés.
Un autre problème est à horizon ; fautes de se faire aider par les divers établissement tel que ; orphelinat, hôpital qui nous demande de donné des sommes d'argent pour obtenir nos renseignements légitimes… cercle sans structure et corrompus qui se perpétue. C'est un appel à la villigence .Comment distinguer le bon du mauvais samaritain étrangé ? Nous avons et nous laisseront un héritage identitaire vide que nous laisserons à nos enfants et à nos futures générations. En tant que pionniers de cette génération expérimentale sur l'adoption internationale sur Haïti, nous sollicitons votre soutien à toutes sous ses formes afin de rétablir l'équilibre.